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Traumatismes et troubles de la personnalit�
Est-ce que certains de vos patients
pr�sentent � la fois un DSPT et un trouble de la personnalit� ? Etes-vous parfois
d�sorient� � savoir comment les aider ?
Ce cours introduit la complexit� clinique de traiter un DSPT joint � un trouble de la
personnalit�. Afin d'�tre efficace et �thique, les cliniciens doivent savoir quand
aborder les aspects relatifs au trouble de la personnalit� et quand aborder le mat�riel
traumatique.
 | Objectifs du cours
 | conna�tre les similitudes entre les DSPT et les troubles de la personnalit�, employant
les mod�les de Masterson et Bowlby |
| conna�tre comment les traumatismes et les troubles de la personnalit� interagissent |
| savoir pourquoi les techniques focusant sur l'�v�nement traumatisant doivent �tre
�vit�es, ou adapt�es |
| apprendre comment adapter la psychoth�rapie en termes des ingr�dients techniques et
relationnels |
| apprendre les buts � poursuivre ainsi que les processus diff�rentiels en jeu selon que
les patients sont schizo�des, narcissiques et �tat-limite |
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| Consid�rations cliniques
| Le tableau clinique devient complexe lorsqu'un individu traumatis� pr�sente un trouble
de la personnalit�. Masterson a d�velopp� une th�orie synth�tique des mod�les
dynamiques des troubles de la personnalit�. Ce mod�le sugg�re que les individus ayant
un trouble schizo�de, narcissique ou �tat-limite ont �rig� des structures d�fensives
rigides au cours de leur petite enfance afin de se prot�ger contre l'exp�rience de
l'abandon �motif v�cu. Les �v�nements traumatisants semblent souvent percer � travers
cette structure d�fensive, les for�ant � ressentir des anxi�t�s d'abandon et
d'annihilation. Le choc est d'autant plus grand, ainsi que les dommages. |
| Afin de traiter les individus traumatis�s ayant un trouble de la personnalit�, les
cliniciens doivent int�grer les mod�les portant sur les DSPT avec les approches
sp�cifiquement d�velopp�es pour traiter les troubles de la personnalit� (e.g.
Masterson et Bowlby) . En sus d'�viter la neutralit� morale, les cliniciens doivent
�viter de pr�senter un "�cran", ce qui ne pourrait que faciliter les
sentiments d'abandon et les projections inutiles. Les perceptions justes de la r�alit�
de ces patients doivent �tre reconnues et valid�es. Plus important encore, le travail
focusant sur la personnalit� doit pr�c�der le travail focusant sur le traumatisme. Ces
patients repr�sentent un d�fi unique et la flexibilit� est requise. |
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| Commentaires de participants :
| "Meilleur cours!" |
| "Clart� impressionnante sur un sujet des plus difficiles." |
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