Voici quelques lettres de personnes ayant
consult� TRAUMATYS.
Lettre de Solange :
Si je prends le temps d'�crire cette lettre, c'est pour t�moigner du soutien
pertinent et probant que m'a apport� TRAUMATYS.
Suite � des voies de fait sur ma personne, j'ai �t� �valu�e par trois psychologues
diff�rents. Mais voyant que leurs diagnostics (d�pression et/ou anxi�t�
situationnelle) et leurs types d'intervention ne faisaient qu'aggraver mon �tat de
panique, j'ai eu la chance d'�tre r�f�r�e � TRAUMATYS par une travailleuse sociale
d'un CLSC. Aussit�t, un d�sordre de stress post-traumatique (DSPT) fut diagnostiqu� et
des s�ances psychoth�rapeutiques prescrites.
Maintenant que je suis au terme de ces s�ances, je puis dire sans l'ombre d'un doute
que l'�valuation et l'intervention de TRAUMATYS ont v�ritablement port� fruit et ce,
dans un d�lai que je n'aurais jamais cru possible alors.
Tout cela m'incite � croire que TRAUMATYS est une ressource indispensable.
Sinc�res salutations,
Solange

Lettre de Jeanine :
Cette lettre a pour but de vous informer des traitements que j'ai re�us suite � mon
accident de travail lors duquel j'ai �t� victime d'un hold-up. Suite � ce hold-up, un
m�decin m'a diagnostiqu�e comme souffrant d'une n�vrose phobique assortie � un trouble
dysthimique majeur. J'ai �t� r�f�r�e � un psychiatre pour traitement behavioral.
Cette th�rapie s'est termin�e apr�s dix mois suite � des rencontres sporadiques. Par
la suite, j'ai d� rencontrer un autre psychiatre qui m'a consolid�e et a conclu qu'il
�tait exclu que j'ai un "contact r�gulier avec le public et, a forteriori, si ce
contact implique la manipulation de sommes d'argent."
Mon agent d'indemnisation de la CSST m'a alors r�f�r�e � Dr. Louise Gaston �
TRAUMATYS que j'ai rencontr�e dans la m�me semaine. Le Dr. Gaston a alors diagnostiqu�
un d�sordre de stress post-traumatique, une d�pression majeure et un d�sordre de
panique avec agoraphobie. De fait, je ne pouvais plus sortir seule de la maison et ne
pouvais prendre ni l'autobus ni le m�tro.
J'ai rencontr� le Dr. Gaston � raison de deux fois par semaine. Ma d�pression est
rapidement partie, je peux maintenant prendre le m�tro et l'autobus, je circule librement
seule � l'ext�rieur, et je ne fais plus d'attaque de panique. A l'aide de l'hypnose,
nous avons travaill� sur mes r�actions aux hold-up et j'ai d�but� un stage
th�rapeutique en succursale bancaire apr�s 6 mois de psychoth�rapie. Je travaille
maintenant en succursale bancaire � plein temps et je me sens pr�te � affronter un
hold-up sans paniquer.
Je me compte chanceuse d'avoir �t� soign�e � TRAUMATYS et je tiens � souligner que
seule cette th�rapie fut directement ax�e sur mes r�actions aux hold-up et m'a
support�e suffisamment pour que j'entreprenne les progr�s que j'ai accomplis.
Je souhaite que toute victime puisse b�n�ficier d'une telle aide sp�cialis�e.
Bien � vous,
Jeanine

Lettre de Fernand :
Bonjour Martin (consultant � TRAUMATYS),
Je t'�cris un mot pour te remercier du bel encouragement que tu m'as apport� lors du
traitement psychologique. Cela m'a permis de me reprendre en main et de reprendre go�t �
vouloir faire des choses dont je ne soup�onnais pas que j'�tais capable de faire.
Malgr� que cela me prends plus de temps qu'avant l'accident, le principal est que je suis
capable de le faire.
Au d�but, je ne pensais pas que je m'en sortirais pas si facilement et aussi
rapidement parce que je me sentais tr�s loin et d�pourvu de ressources, mais avec ta
grande comp�tence et ta facilit� d'approche m'a permis de me d�couvrir d'autres forces
que je ne croyais pas pouvoir d�couvrir et m'en servir avec mon exp�rience du pass�.
Je suis maintenant capable de m'en sortir gr�ce � tes bons soins et aux conseils de
Dr. Louise Gaston qui a �t� pour moi une grande d�couverte. Je vous encourage �
d�velopper TRAUMATYS sur une grande �chelle et d'informer les industries ainsi que les
m�decins. Je suis certain que tous ceux qui auront recourus � vos services s'en
porteront beaucoup mieux.
Nous avons besoin de gens comme vous pour mieux se comprendre.
Merci beaucoup,
Fernand

Lettre de Madeleine :
Il y a quelque temps que j'ai subi un �v�nement traumatisant. J'ai consult� une
personne-ressource pendant un certain temps, mais malgr� toute sa bonne volont�, son
soutien et
son encouragement, je n'�tais pas � l'aise dans tout cela. Par la suite, on m'a
dirig�e vers vous, TRAUMATYS, une aide professionnelle sp�cialis�e. En ces temps
troubles o� tout est remis en question, il est r�confortant de penser qu'il y a des gens
sp�cialis�s pour nous aider � reprendre le cours normal de la vie, et de voir la
lumi�re au bout du tunnel.
Merci de votre attention � mon �gard,
Madeleine

Lettre de Monique :
Au d�but de ma maladie psychologique due � un vol � main arm� a mon travail, j'ai
d� fr�quenter un autre bureau de psychologues, r�f�r� par mon employeur et pay� par
lui. Apr�s dix s�ances d'une heure semaine, je n'�tais toujours pas satisfaite
enti�rement des r�sultats. Je sentais une pression pour le retour au travail, assez que
durant les traitements, j'ai commenc� � avoir des probl�mes psychiques assez grave.
Dans ces moments-l�, nous sommes tr�s vuln�rable, je m'enfon�ais encore plus et mon
probl�me n'�tait toujours pas r�gl�.
Alors j'ai commenc� � magasiner comme dans d'autres domaines de la sant�, j'ai lu un
article de journal populaire qui disait de faire attention, que ce n'�tait pas toujours
des sp�cialistes m�me s'ils le disent. Le reportage �tait sur Dr. Louise Gaston,
directrice de TRAUMATYS, qui disait �tre sp�cialiste pour les gens qui subissent des
probl�mes psychologiques d�s � un traumatisme. Je me suis dit: "Je prends un
rendez-vous, je n'ai rien � perdre."
Nous avons pass� une heure ensemble. Dr. Gaston a �valu� mes besoins et expliqu�
comment elle fonctionnait avec son �quipe et, tout de suite, j'ai senti un
professionnalisme, une grande confiance, ce qui est tr�s important dans ces moments-l�.
Le suivi qui se fit, l'�valuation, le respect et la disponibilit�, un appui important et
en plus durant certains s�ances je vivais des moments tr�s p�nibles et intenses. Je me
sentais pas toujours tr�s bien, alors m�me si je d�passais le temps qui m'�tais
allou�, ma psychologue me gardait et ne me laissait par partir tant que mon �tat ne me
le permettait pas. Si cela n'est pas du professionnalisme, qu'est que c'est?
Il n'est pas facile de faire � des professionnels choisis par notre employeur; on se
sent bouscul� et la confiance ne r�gne pas. Alors, au lieu de r�gler notre probl�me
psychologique, on le repousse davantage en dedans de nous. Alors arrive une rechute et
cela prend encore plus de temps et d'argent pour r�gler le probl�me.
Monique

Lettre de Claude :
Lors d'une agression, j'ai r�alis� que l'enfer pouvait exister et j'ai tr�s peur de
mourir. Les semaines qui suivirent furent tr�s p�nibles. Je n'arrivais pas au juste �
saisir ce qui m'arrivait. Je me sentais dans un �pais brouillard. J'avais beaucoup de
difficult�s � dormir, je me sentais tr�s �motif, � fleur de peau, agressif, nerveux.
J'avais peur de tout et aussi de mes propres r�actions. De plus, toutes sortes de
douleurs physiques me faisaient souffrir (maux de t�te, d'estomac).
J'ai donc �t� consulter un m�decin et j'ai pass� plusieurs tests, investiguant le
c�t� physiologique. Tous ces tests se sont av�r�s n�gatifs. Mon m�decin a alors fait
l'hypoth�se d'un probl�me relevant de facteurs psychologiques. Il m'a r�f�r� � un
psychiatre que je pouvais voir que plus tard. Je me suis donc inform� � la CSST qui m'a
r�f�r� � un autre psychiatre qui avait une liste d'attente de 4 � 6 mois. Je me
sentais d�courag�, je n'en voyais pas la fin. J'�tais tr�s mal en point et d�sirait
m'en sortir mais j'avais l'impression qu'on ne prenait pas ma douleur au s�rieux. J'ai
�t� ensuite r�f�r� � Dr. Louise Gaston � TRAUMATYS qui m'a donn� un rendez-vous
dans la m�me semaine. Apr�s l'�valuation, j'ai �t� pris en charge de fa�on tr�s
rapide par un th�rapeute de la clinique TRAUMATYS.
Je me suis senti tr�s rassur�, j'avais enfin quelqu'un qui se montrait disponible et
compr�hensif. Le traitement m'a donn� beaucoup de courage et j'ai vite senti les
r�sultats d'une aide appropri�e. Je suis tr�s satisfait et le monde me fait beaucoup
moins peur au point o� j'ai d�cid� d'essayer de r�int�grer mon emploi, alors que
d'autres m�decins me consid�raient incapable de la faire et m'orientaient plut�t vers
un plan de r�adaptation.
Claude